Le 20 mars dernier marquait officiellement la première Journée internationale du Bonheur proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies. Hasard du calendrier, Salut & Fraternité se penche ce trimestre sur le sujet.

Vendu sur nos écrans par certains, promis aux plus fidèles par d’autres, quel est donc ce sentiment qui nous habite par moment et que nous cherchons si souvent au cours de nos vies ? Eudémonisme, plaisirs, joies, petites et grandes réalisations : les concepts sont nombreux. Il n’y a ici nulle ambition de donner des recettes toutes faites sur le sujet mais d’ouvrir le champ des idées et de la réflexion.

Le Bonheur est souvent associé à une quête personnelle, qu’il relève de la recherche du plaisir instantané ou d’un état durable de sérénité joyeuse. Il est toutefois légitime de s’interroger sur le rôle que jouent les structures sociales sur celui-ci et comment il peut être abordé collectivement. À moins qu’il ne soit en chacun de nous. Et que, tout simplement, il consiste à goûter intensément et pleinement le moment présent.