Cycloparade féministe 2019
Cycloparade | 08.03.2019 | Gare des Guillemins
La deuxième édition de la cyclo-parade, c’est ce 8 mars 2019 !
À vélo, en roller, en poussette, en skate ou à pied, nous invitons les citoyennes et citoyens à nous rejoindre lors de la grande « Cyclo-parade féministe » ! Parce qu’ à Liège, on ose bouger pour les droits des femmes. Nous roulerons, marcherons ensemble sur un parcours de 3km.
L’objectif : investir la ville de Liège pour rappeler le sens de cette date symbolique : la journée internationale DES DROITS DES FEMMES.
Cette année nous rappellerons l’importance des combats autour de l’intégrité physique des femmes avec ce slogan « Haut les mains, mon corps c’est le mien !».
Après la Cycloparade, nous proposerons des animations dans un village associatif et festif. Un événement solidaire ouvert à tous et toutes !
Cet événement est mis en place par un collectif d’associations « Collectives et Ardentes » qui se mobilise pour les droits des femmes : Be Cause Toujours !, Femmes ECOLO Liège, Femmes CSC, FGTB-Bureau des femmes Liège-Huy-Waremme & Promotion et culture, Femmes CSC, Planning familial Infor-femmes, la Maison de la Laïcité de Liège, Lire et Écrire, Vie Féminine, l’asbl Ronahî, le Conseil des Femmes Francophones de Belgique .
Programme de la journée
14h30 : Rendez-vous à la Gare des Guillemins de Liège avec vos vélos, trottinettes, skates, rollers, etc. ou à pied.
16h30 : Village Associatif avec des animations sur l’intégrité physique des femmes au Musée de la vie Wallonne
18h30 : Clôture festive
Pourquoi une Cyclo-Parade ?
Cyclo car la femme à vélo est un véritable symbole d’indépendance. Se battre pour le droit de pédaler, c’est surtout défendre le droit de sortir de chez soi, d’être mobile, d’être présente dans l’espace public. Ailleurs dans le monde, dans les pays où les droits des femmes sont encore loin de ceux des hommes, le vélo reste un combat de tous les jours.
Pour défendre les DROITS des femmes, des associations de tous bords ont décidé de se rassembler en collectif pour créer un événement commun. Parce qu’on est plus fort·e·s, plus visibles ensemble et parce que ce combat dépasse les clivages politiques et méthodologiques.