• Plateforme Stop statut cohabitant·e
    Plateforme Stop statut cohabitant·e

Supprimer le statut de cohabitant·e c’est :

Récu­pé­rer des droits fondamentaux

Exiger la fin de cette injus­tice et de cette discri­mi­na­tion que consti­tue le fait de perce­voir un montant plus faible quand on coha­bite, ce qui consti­tue une réduc­tion du droit pour lequel les cohabitant·es ont cotisé ni plus ni moins que les autres caté­go­ries comme les isolé·es et les chefs de ménage.

Dimi­nuer les inéga­li­tés hommes-femmes

Dimi­nuer les situa­tions de dépen­dance contraires à l’égalité entre hommes et femmes et à l’autonomie de celles-ci, car ce sont le plus souvent les femmes qui sont amenées à renon­cer à leur acti­vité profes­sion­nelle ou à leur indem­ni­sa­tion en cas de chômage ou d’invalidité, en cas de temps partiel et de bas salaire, dès lors que le statut de chef de ménage est finan­ciè­re­ment plus avan­ta­geux pour la famille.

Amor­cer la fin des contrôles domiciliaires

Mettre fin aux contrôles domi­ci­liaires, qui posent ques­tion notam­ment en termes de respect de la vie privée, de réduire la méfiance à l’égard des insti­tu­tions sociales censées accom­pa­gner les personnes en diffi­culté qui conduisent celles-ci à éviter d’y recou­rir et d’éviter l’incertitude juri­dique (et l’inégalité de trai­te­ment qu’elle engendre) liée à la multi­pli­cité des règles suivant les types d’allocation et de leurs interprétations.

Créer un levier effi­cace face à la crise

Mettre en place un levier effi­cace face à la crise éner­gé­tique que nous connais­sons actuel­le­ment, afin de lutter contre l’appauvrissement. Une telle mesure permet­trait à certain·es citoyen·nes de respi­rer un peu plus et/ou d’envisager d’autres formes d’habitat. Elle allé­ge­rait indé­nia­ble­ment un quoti­dien devenu diffi­cile pour beau­coup d’entre nous. La suppres­sion du statut de cohabitant·e permet­trait en outre de lutter effi­ca­ce­ment contre le mal-loge­ment, les passoires éner­gé­tiques, les « marchands de sommeil », avec égale­ment des gains non négli­geables en termes de santé publique.


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